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Est-ce que I=I pour les mères qui allaitent et les nourrissons ? L’allaitement maternel par des mères sous traitement efficace contre l’infection par le VIH dans les pays à revenu élevé

La campagne indétectable = intransmissible (I=I), établie pour la transmission sexuelle du VIH, peut-elle être appliquée à la transmission du VIH par l'allaitement ? Un groupe d'experts mondiaux propose une feuille de route pour la recherche collaborative afin de fournir les preuves manquantes nécessaires pour permettre aux mères qui souhaitent allaiter de faire un choix pleinement informé.

Ce document a été traduit de sa langue d'origine à l'aide de DeepL Pro (une technologie de traduction en ligne basée sur l’intelligence artificielle) pour offrir aux utilisateurs de HIV Justice Academy une plus grande sélection de ressources. Nous sommes conscients des limites de la traduction automatique et ne garantissons donc pas l'exactitude de la traduction.

Les femmes vivant avec le VIH dans les pays à revenu élevé et l’allaitement (2020)

Un examen approfondi des orientations politiques, de la science et de la pratique dans les milieux à revenu élevé du Danemark.  Il conclut que "le traitement antirétroviral maternel suppressif réduit considérablement, mais n'élimine pas, le risque de transmission postnatale du VIH par l'allaitement. Cependant, il est important de reconnaître et d'admettre que certaines femmes vivant avec le VIH peuvent souhaiter allaiter leur enfant. Dans ce cas, les prestataires de soins de santé et les femmes ont besoin d'informations fondées sur des preuves concernant les risques et les avantages pour pouvoir prendre une décision éclairée."

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« Swiss Statement » : bilan deux ans après

Une personne séropositive ne souffrant d’aucune autre maladie sexuellement transmissible et qui suit un traitement antirétroviral efficace ne transmet pas le virus par le biais de contacts sexuels. Telle est, en janvier 2008, l’affirmation de la Commission fédérale pour les problèmes liés au sida. Cette déclaration, rapidement connue mondialement sous le nom de «Swiss Statement», provoque initialement une vague d’opposition internationale alimentée par la crainte qu’elle sabote les stratégies de prévention actuelles. Deux ans plus tard, aucune conséquence néfaste du «Swiss Statement» n’est constatée. Au contraire, elle a pour mérite d’avoir encouragé des recherches pour des nouvelles méthodes de prévention avec un intérêt grandissant pour le traitement antirétroviral.

Position ministérielle – L’effet du traitement des personnes vivant avec le VIH sur le risque de transmission sexuelle de l’infection

La position du ministère de la Santé et des Services sociaux au Canada. L’effet du traitement des personnes vivant avec le VIH sur le risque de transmission sexuelle de l’infection s’adresse aux personnes qui œuvrent dans le domaine de la prévention et du traitement de l’infection par le VIH ainsi qu’aux personnes vivant avec le VIH et à leurs partenaires.
Cette position est basée sur les données probantes. Elle énonce l’effet du traitement sur le risque de transmission de l’infection par le VIH lors des relations sexuelles orales, vaginales et anales.

Indétectabilité et transmission du VIH au sein de couples sérodiscordants

Etude de cohorte (Opposites Attract observational cohort study) portant sur 358 couples homosexuels sérodiscordants recrutés entre 2012-2016. Résultats montrent que le traitement antirétroviral est efficace en termes de prévention chez les HSH.